lundi 25 février 2013

Betty




Je me suis rappelé que j'avais lu "La voix" un autre polar d'Indridasson, et que je m'étais ennuyé, vers le tiers du livre, au moment où je commençais à m'ennuyer. Et puis, il y a une pirouette, une trouvaille, qui relance la mécanique et l'intérêt et on se dit "Ah ouééé", et on reprend l'histoire avec entrain.  Mais bon, on reste dans du classico-classique : amour, argent, trahison,...  On navigue en pilotage automatique et se laisse aller jusqu'à la dernière page, plus par habitude de terminer un livre qu'autre chose.

Donc, si vous n'avez pas cette sale habitude, vous savez ce que vous risquer de faire.

Reste ces quatre utilisations de "commisérations" ... je ne crois pas avoir lu autant de fois ce mot durant toute ma carrière de lecteur... Les voies du traducteur sont parfois impénétrables...



 C'est comme ça que ça se termine :

Je me recroqueville sous la couette. Parfois, les souvenirs m'assaillent avec tellement de violence que j'en pleure.
Comme elle me manque.
Comme ils me manquent ses doux baisers sur mon corps.
Ô Betty...



Arnaldur Indridasson - Betty - Editions Métailié, 2011 (Points Roman Noir, 2012 - Pour cette édition)

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